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Eraserhead : La médiocrité a un nom

Dernière mise à jour : 19 nov. 2018

Premier film du réalisateur David Lynch et pourtant pas le dernier ce qui est assez incompréhensible après visionnage (le film aussi d’ailleurs).



Considéré par un chef d'oeuvre par beaucoup, j'ai longtemps hésité à regarder ce film.

Que dire du visionnage ? Difficile à décrire puisque l’on passe la moitié du temps à plisser les yeux pour espérer apercevoir ce qui se passe dans cet abysse artistique, quant à l’histoire il faut sans doute avoir un doctorat en psychologie pour comprendre ce qui s’y trame. « Mais c’est surtout du ressenti, une émotion, on n’est pas là pour comprendre gnagnagna… » me direz-vous, que neni c'est de la masturbation intellectuelle, comment peut-on oser montrer ce genre de chose, est-ce qu'un enfant montre son caca à tout le monde après avoir déféqué? Non, tout simplement non.

Et que dire de la BO à part que les amateurs de cris de bébés se régaleront de cette douce mélodie pendant près d’une heure et demie, le tout ponctué par des bruits de casseroles.

Mais on ne peut pas enlever à David Lynch le fait qu'il réinvente le cinéma, en effet ce qui devait être un moment de plaisir devient un moment de supplice, quel génie !

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